l'enquete "Les Paul".... Chapitre 3 [edit 11/09/08]
- Foudraxx
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l'enquete "Les Paul".... Chapitre 3 [edit 11/09/08]
[Descriptif page 4 / livret technique page 6 ]
Et voila, une nouvelle histoire qui commence. Un gas m’avait contacté la veille pour une sombre histoire de chantage, de vol, à propos de plans secret ou je ne sais quoi. Au téléphone le gas m’avait parut anxieux et effrayer. Il pleurnichait presque. Pitoyable.
Je devais passer le voir, et ce rendez vous m’avait conduit dans les banlieues ouest de la ville, dans un petit patelin aux apparences bien tranquille. Le gas habitait dans un ancien atelier d’après ce que j’avais compris. Je me suis rendu au numéro indiqué, et là, j’ai bien senti que quelque chose ne tournais pas rond.
La porte était entrouverte, et personne ne répondait a mes appelles. Je jetais un coup d’œil indiscret, et c’est la que j’ai découvert le bordel qui régnait dans l’atelier. Tous étaient sans dessus dessous. Continuant dans l’indiscrétion, je rentrait dans l’atelier sans y avoir été invité.
La pièce était une véritable boucherie. J’étais pris de haut le cœur en déambulent dans l’atelier, et je devait fournir beaucoup d’effort et serrer les dent pour ne pas tous rendre. Des lambeaux de chairs étaient étalé partout sur le sol, et certain avaient giclé sur les mur, tel des copeaux de bois jeter là de façon nonchalante. Des outils dispersés un peu partout sur le sol, de véritables instruments de torture encor chaud. Et c’est là que je découvrais le cadavre.
Le corps était en piteux état, une vraie boucherie. Le gas avait été lacéré dans les grandes largeur, et couper en morceau.
Le spectacle était tellement dur a soutenir que j’ai même pas été foutu de prendre des clichés correct, tellement je tremblais. Mes photos étaient aussi troubles que cette affaire. C’était mon indique de toute évidence, Gibson qu’il s’appelait, mais maintenant, il n’allait plus me chanter la sérénade. Pauvre gas… Je crois que même les toubib auraient du mal a recoller les morceaux, j’imagine bien le tableau…
il n'y avait plus que grace a quelques photos restées intact, que je pouvais essayer d'immaginer a quoi ressemblait ce pauvre Gibson.
De toute évidence, la gas avait été violement frapper, avant de se faire déchiqueter, a l’aide d’une sorte de batte qui avait ete oublier sur les lieu. Mon seul indice. Mais ce n’était pas n’importe quoi comme batte, une belle réalisation, bien ergonomique. Le gas qui avait fait ça, avait bien réfléchit a son truc. Le manche était solide et la tête, qui avait été rapporté sur celui ci, avait une belle inclinaison de 15° environ, parfait pour régler les différents, et s’accorder de manière musclé.
Le tout était parfaitement taillé, du bel ouvrage.
Mais l’indice était plutôt maigres. Le morceau de bois était en érable d’Oregon. De la bonne came. Mais Le seul gas du coin qui fournissait se genre de matos, un certain Larry , était blanc comme neige, forcement…
Ce n’est pas les méthodes de la mafia, plutôt un truc genre serial killer, ou tous simplement un barjot. Peut être bien un règlement de compte a la réflexion… Je commençais déjà à piétiner. Pas le moindre indices. J'avais du mal a prendre du recule, j'essayais d'immagnier les choses, mais c'etait pas evident, il manquait encor trop d'elements.
Et puis soudain un numéro de téléphone. Il était sous mes yeux depuis le début, mais je l’avais laisser sur la touche, en n’y prenant pas garde.
Ca allait peut être pouvoir m’aider… Mince la ligne est en dérangement. J’aurais peut être plus de chance demain…
Et voila, une nouvelle histoire qui commence. Un gas m’avait contacté la veille pour une sombre histoire de chantage, de vol, à propos de plans secret ou je ne sais quoi. Au téléphone le gas m’avait parut anxieux et effrayer. Il pleurnichait presque. Pitoyable.
Je devais passer le voir, et ce rendez vous m’avait conduit dans les banlieues ouest de la ville, dans un petit patelin aux apparences bien tranquille. Le gas habitait dans un ancien atelier d’après ce que j’avais compris. Je me suis rendu au numéro indiqué, et là, j’ai bien senti que quelque chose ne tournais pas rond.
La porte était entrouverte, et personne ne répondait a mes appelles. Je jetais un coup d’œil indiscret, et c’est la que j’ai découvert le bordel qui régnait dans l’atelier. Tous étaient sans dessus dessous. Continuant dans l’indiscrétion, je rentrait dans l’atelier sans y avoir été invité.
La pièce était une véritable boucherie. J’étais pris de haut le cœur en déambulent dans l’atelier, et je devait fournir beaucoup d’effort et serrer les dent pour ne pas tous rendre. Des lambeaux de chairs étaient étalé partout sur le sol, et certain avaient giclé sur les mur, tel des copeaux de bois jeter là de façon nonchalante. Des outils dispersés un peu partout sur le sol, de véritables instruments de torture encor chaud. Et c’est là que je découvrais le cadavre.
Le corps était en piteux état, une vraie boucherie. Le gas avait été lacéré dans les grandes largeur, et couper en morceau.
Le spectacle était tellement dur a soutenir que j’ai même pas été foutu de prendre des clichés correct, tellement je tremblais. Mes photos étaient aussi troubles que cette affaire. C’était mon indique de toute évidence, Gibson qu’il s’appelait, mais maintenant, il n’allait plus me chanter la sérénade. Pauvre gas… Je crois que même les toubib auraient du mal a recoller les morceaux, j’imagine bien le tableau…
il n'y avait plus que grace a quelques photos restées intact, que je pouvais essayer d'immaginer a quoi ressemblait ce pauvre Gibson.
De toute évidence, la gas avait été violement frapper, avant de se faire déchiqueter, a l’aide d’une sorte de batte qui avait ete oublier sur les lieu. Mon seul indice. Mais ce n’était pas n’importe quoi comme batte, une belle réalisation, bien ergonomique. Le gas qui avait fait ça, avait bien réfléchit a son truc. Le manche était solide et la tête, qui avait été rapporté sur celui ci, avait une belle inclinaison de 15° environ, parfait pour régler les différents, et s’accorder de manière musclé.
Le tout était parfaitement taillé, du bel ouvrage.
Mais l’indice était plutôt maigres. Le morceau de bois était en érable d’Oregon. De la bonne came. Mais Le seul gas du coin qui fournissait se genre de matos, un certain Larry , était blanc comme neige, forcement…
Ce n’est pas les méthodes de la mafia, plutôt un truc genre serial killer, ou tous simplement un barjot. Peut être bien un règlement de compte a la réflexion… Je commençais déjà à piétiner. Pas le moindre indices. J'avais du mal a prendre du recule, j'essayais d'immagnier les choses, mais c'etait pas evident, il manquait encor trop d'elements.
Et puis soudain un numéro de téléphone. Il était sous mes yeux depuis le début, mais je l’avais laisser sur la touche, en n’y prenant pas garde.
Ca allait peut être pouvoir m’aider… Mince la ligne est en dérangement. J’aurais peut être plus de chance demain…
Modifié en dernier par Foudraxx le ven. 19 sept. 2008 13:33, modifié 2 fois.
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ho la vache!! génial le polar, la gratte aussi d'ailleurs
Vivement le deuxieme chapitre!!
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j'ai mis quelques secondes a comprendre le truc mais quand on est dedans c'est que du bonheur!!
vite la suite!!
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Ce n'est pas parce que c'est difficile qu'on ose pas, mais parce qu'on ose pas que c'est difficile!
Il ne faut jamais choisir la solution de facilité, c'est toujours la mauvaise.
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Ben moi je vais mettre encore plus de temps à tout saisir vu que du boulot j'ai pas les photos
Mais vu le texte je m'attends au pire, c'est à dire au meilleur quoi
Pfff, je suis le seul flic ici et incapable d'aider notre ami dans son enquête avant au mieux ce soir, si je peux me connecter
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Ex chef de la B.R.A.B. (Brigade des Raclées Amicales de Bienvenue)
Ne pas consulter la FAQ peut nuire gravement à la santé
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ce mec est fou
Foudraxx est mallllaaaade ...
Bon maintenant ça va être l'enfer d'attendre la suite ... (P***ain c'est vrai qu'il a pas eu de bol Gibson se faire découper comme ça :? brrr)
Si tu veux un coup de main je connais personnellement Axel Folley il pourra peut être t'aider à retrouver l'assassin
Foudraxx est mallllaaaade ...
Bon maintenant ça va être l'enfer d'attendre la suite ... (P***ain c'est vrai qu'il a pas eu de bol Gibson se faire découper comme ça :? brrr)
Si tu veux un coup de main je connais personnellement Axel Folley il pourra peut être t'aider à retrouver l'assassin
Un concerné n'est pas forcément un imbécile en état de siège pas plus qu'un concubin n'est obligatoirement un abruti de nationalité cubaine ...
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désolé, j'ai le N de mon clavier qui marche pas tres bien, je disais simplement que lorsque j'ai vu le pseudo " foudraxx " j'ai repensé a l'explorer du seigneur des anneaux avec la museliere, et que je me prendrais une claque en voyant sa nouvelle, et vu le boulot bin splatc !Galadan a écrit :Bravo pour l'originalité de la présentation
Mr Pillow j'ai de plus en plus de mal à capter ce que tu tapes...t'as picolé ou quoi?
désolé si jsuis pas clair en plus j'avais pas picolé je crois
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Juste pour faire le gros chieur qui met les pieds dans le plat, les fautes d'orthographe piquent un peu les yeux.
A part ca, bah pas trop de surprise vu les antecedents du monsieur.
A part ca, bah pas trop de surprise vu les antecedents du monsieur.
C'est pas moi qui le dit... c'est Fucius et croyez moi, il avait oublié d'etre con.
Ahia chu cha pari di pari da la di la ridilla landich dan du
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Jvosu r'mercie m'sieur Foudraxx
Quand j'vais dire ca a ma femme
Ah j'oubliais, juste uen derniere chose ... :sif: :yap:
Super j'adore , la petite histoire policiere rend super :mrgreen:
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Modifié en dernier par cpaimb le lun. 10 sept. 2007 22:08, modifié 1 fois.
En cours : Les Paul Like
Cpaimb's Xplosiv
Fan officiel d'Aerosmith du forum :mrgreen:
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- Foudraxx
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Salut les enfants ;-)
Et oui me revoilou !
Comme le faisait remarquer "Fidler" la LP etait pas forcement le projet le plus originale, et donc j'ai eu l'idee de cette petite presentation. J'espere que je vais pouvoir finir le scenario sans que ce soit trop bancale :?
Toute mes confuses pour les Fautes, desolé Tramber, si j'ai le temps j'essai de les corriger.
Sinon merci pour vos encouragements, va y en avoir besoin, parce que c'est loin d'etre terminer, et j'ai beaucoup de travail...
Sinon en ce qui concerne l'instrument, pour reprendre une structure plus academique, il s'agit donc d'une Les Paul semi hollow.
Acajou / erable pommelé / Erable / palisandre, le tous vient de chez Larry comme vous l'aurez compris ;-)
C'est encor un projet thematique, comme la Crimson dragon et la Scary Guy, mais cette fois ci, je vous laisse le decouvrire. C'est un instrument pour un ami, je lui fait la surprise de la finition et du theme donc je ne devoile pas tout, au cas ou il viendrais mettre les pieds sur le forum !!
J'ai modifié un peu les plans de la Les Paul, pour la faire plus a mon goût. Notament un talon profiler, qui sera a meme le corp de l'instrument. Un chanfrein stomacale (marre de se ruiner les cotes), des cordes traversante.
Comme d'hab, j'ai essayer de developper le theme au maximum, donc quelques petites idees bien sympa a mon goût, mais qui s'avrerent deja compliqués dans la mise en oeuvre.
Mais bon je vous laisse decouvrire ca au fur et a mesure. Soyer patient ;-)
Et oui me revoilou !
Comme le faisait remarquer "Fidler" la LP etait pas forcement le projet le plus originale, et donc j'ai eu l'idee de cette petite presentation. J'espere que je vais pouvoir finir le scenario sans que ce soit trop bancale :?
Toute mes confuses pour les Fautes, desolé Tramber, si j'ai le temps j'essai de les corriger.
Sinon merci pour vos encouragements, va y en avoir besoin, parce que c'est loin d'etre terminer, et j'ai beaucoup de travail...
Sinon en ce qui concerne l'instrument, pour reprendre une structure plus academique, il s'agit donc d'une Les Paul semi hollow.
Acajou / erable pommelé / Erable / palisandre, le tous vient de chez Larry comme vous l'aurez compris ;-)
C'est encor un projet thematique, comme la Crimson dragon et la Scary Guy, mais cette fois ci, je vous laisse le decouvrire. C'est un instrument pour un ami, je lui fait la surprise de la finition et du theme donc je ne devoile pas tout, au cas ou il viendrais mettre les pieds sur le forum !!
J'ai modifié un peu les plans de la Les Paul, pour la faire plus a mon goût. Notament un talon profiler, qui sera a meme le corp de l'instrument. Un chanfrein stomacale (marre de se ruiner les cotes), des cordes traversante.
Comme d'hab, j'ai essayer de developper le theme au maximum, donc quelques petites idees bien sympa a mon goût, mais qui s'avrerent deja compliqués dans la mise en oeuvre.
Mais bon je vous laisse decouvrire ca au fur et a mesure. Soyer patient ;-)
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Biiiip……. Biiiip…. Bonjour et bien venu chez « The rock corporation ». La société est ouverte du mardi au ….
The rock corporation… Inconnu au bataillon ! Ca m’avançait pas des masses.
Et puis j’était trop vidé pour réfléchir… je tenais une bonne vielle gueule de bois bien défoncé.
Apres un bonne douche et le traditionnel café clope, Je décidais de retourner sur les lieux. Il me fallait plus d’indices, et je devais m’immerger d’avantage dans cette histoire.
L’état de l’appart n’avait pas changé, à par le macabés partie pour la morgue, et les magnifiques banderoles décorative de la police. Heureusement les flics n’avaient pas encore fait le grand nettoyage.
Je déambulais dans l’appart, en fouinant ça et là, et le temps passait mais toujours rien à se mettre sous la dent.
Tout juste un morceau de la batte qui avait dû gicler pendant le passage a tabac. Un morceau du manche visiblement.
A par ça pas grand-chose…
Puis soudain mon 38 jaillit de son holster et je me plaquais contre le chambranle de la porte de la chambre. Un grincement venait d’attirer mon attention. Dans l’embrassure de la porte d’entrée, un gamin chétif et sale, l’air apeuré, venait de faire son apparition. Il épiait la pièce avec de grands yeux globuleux.
Des qu’il m’aperçu, il se mit à détaler comme un lièvre affoler par les cors de chasse.
Non sans peine, je me lançais à sa poursuite dans les escaliers de l’immeuble.
Apres une longue course effréné, je réussit, hors d’haleine, à le rattraper. Sa course pris fin sur la voûte du toit, ou enfin je réussis à le saisir par le bras, avant de cracher mes poumons.
( http://lutherie-amateur.com/Forum/viewt ... highlight= )
C’était un gamin des rues, avec une histoire longue comme un rouleau de PQ. Petite délinquance, vol a l’étalage… le genre, moins je vois les flics mieux je me porte.
En le cuisinant un peu, et après qu’il ai compris que je ne lui voulais pas de mal, il me déballât tous ce qu’il savait.
C’était un ami de Gibson, disait il. Et le soir du meurtre, il était venu lui rendre visite, et avait assisté à toute la scène. Il me raconta en détails, avec des yeux encor remplis d’effroi, ce qui c’était passé cette nuit là dans l’atelier. Il me décrivit plus spécifiquement un des hommes, le chef d’orchestre semblait il, le batteur de l’équipe. Celui-ci avait la peau mate, un peu ambre. Le gamin se souvenait d’un pendentif en argent, qui portait les initiales L.N. et qu’il me croqua rapidement, et d’un tatouage qu’il portait sur le ventre, un cavalier en pleine course…
Enfin je récoltais quelques indices. Le signalement du gas pourrait peu être m’aider un peu.
Mais Il fallait que je m’affole un peu pour pouvoir commencer à tendre mes filets.
Je me décidais donc à aller voir Blaireau. Un pot flic qui pourrais peut être me rencarder ou m’aiguiller. L’homme au tatouage n’en était sûrement pas à son coup d’essai, et son signalement pourrait peu être rafraîchir quelques mémoires.
Je me rendais donc au Rickyard, un bistrot du vieux quartier, ou j’avais donné rencard à Blaireau… Celui-ci m’attendait déjà, armé d’une bonne blonde au teint pétillant.
Apres de viriles salutations et le blabla traditionnel d’amicale retrouvaille, je lui exposais la raison de ma venue.
L’affaire lui semblais des plus banale, pas de quoi fouetter un chat pensait il. Mais lorsque je lui donnais le signalement de mon assassin, et lui décrivait les détails que le gamin m’avait donnés, son regard changea soudain.
-« Fait voir le croquis du pendentif. »
Je sentais bien que quelque chose s’agitait dans sa tête, et j’attendais avec impatience qu’il daigne bien m’en faire part.
-« Ce n’est pas un L.N que tu cherche mais un N°7. »
Ceci ne m’avançait pas grandement, mais à son regard, je savais déjà qu’il pourrait m’en dire un peu plus, et que ça ne s’annonçait pas des plus folichon.
-« Un tueur au N°7 avec un cheval tatoué, j’en connais pas trente six, et si c’est bien de lui qu’il s’agit, alors je sais pas dans quel merdier tu t’es foutu, mais ça sens vraiment pas bon. »
Sentant que l’histoire allait être longue, je passait commande pour deux nouvelles mousses, et me mis à écouter avec attention.
Blaireau m’expliqua que du temps ou il travaillait pour le centre carcérale, il y avait en détention, un homme répondant au nom de N°7. Personne ne connaissait son vrai nom et tout le monde s’en foutait un peu, car rien que l’évocation de ce titre N°7 faisait froid dans le dos.
C’était un fracasseur de tête, un tueur a gage, parmi les plus réputés que le monde ait porté.
Avec lui s’alourdissait ce qui ressemblait le plus à un véritable « hall des fame » des plus grand effaceurs de 1866 à nos jours.
Et bien en voila de l’information. Je n’avais toujours pas de nom, mais visiblement je n’en avais pas vraiment besoin. En revanche je comprenais un peu mieux de quoi il retournait. Je commençais a pouvoir arrondir les angles et a y voir un peu plus clair.
Il me fallait désormais découvrir pour le compte de qui notre ami N°7 avait œuvré, et pour quelles raisons…..
The rock corporation… Inconnu au bataillon ! Ca m’avançait pas des masses.
Et puis j’était trop vidé pour réfléchir… je tenais une bonne vielle gueule de bois bien défoncé.
Apres un bonne douche et le traditionnel café clope, Je décidais de retourner sur les lieux. Il me fallait plus d’indices, et je devais m’immerger d’avantage dans cette histoire.
L’état de l’appart n’avait pas changé, à par le macabés partie pour la morgue, et les magnifiques banderoles décorative de la police. Heureusement les flics n’avaient pas encore fait le grand nettoyage.
Je déambulais dans l’appart, en fouinant ça et là, et le temps passait mais toujours rien à se mettre sous la dent.
Tout juste un morceau de la batte qui avait dû gicler pendant le passage a tabac. Un morceau du manche visiblement.
A par ça pas grand-chose…
Puis soudain mon 38 jaillit de son holster et je me plaquais contre le chambranle de la porte de la chambre. Un grincement venait d’attirer mon attention. Dans l’embrassure de la porte d’entrée, un gamin chétif et sale, l’air apeuré, venait de faire son apparition. Il épiait la pièce avec de grands yeux globuleux.
Des qu’il m’aperçu, il se mit à détaler comme un lièvre affoler par les cors de chasse.
Non sans peine, je me lançais à sa poursuite dans les escaliers de l’immeuble.
Apres une longue course effréné, je réussit, hors d’haleine, à le rattraper. Sa course pris fin sur la voûte du toit, ou enfin je réussis à le saisir par le bras, avant de cracher mes poumons.
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C’était un gamin des rues, avec une histoire longue comme un rouleau de PQ. Petite délinquance, vol a l’étalage… le genre, moins je vois les flics mieux je me porte.
En le cuisinant un peu, et après qu’il ai compris que je ne lui voulais pas de mal, il me déballât tous ce qu’il savait.
C’était un ami de Gibson, disait il. Et le soir du meurtre, il était venu lui rendre visite, et avait assisté à toute la scène. Il me raconta en détails, avec des yeux encor remplis d’effroi, ce qui c’était passé cette nuit là dans l’atelier. Il me décrivit plus spécifiquement un des hommes, le chef d’orchestre semblait il, le batteur de l’équipe. Celui-ci avait la peau mate, un peu ambre. Le gamin se souvenait d’un pendentif en argent, qui portait les initiales L.N. et qu’il me croqua rapidement, et d’un tatouage qu’il portait sur le ventre, un cavalier en pleine course…
Enfin je récoltais quelques indices. Le signalement du gas pourrait peu être m’aider un peu.
Mais Il fallait que je m’affole un peu pour pouvoir commencer à tendre mes filets.
Je me décidais donc à aller voir Blaireau. Un pot flic qui pourrais peut être me rencarder ou m’aiguiller. L’homme au tatouage n’en était sûrement pas à son coup d’essai, et son signalement pourrait peu être rafraîchir quelques mémoires.
Je me rendais donc au Rickyard, un bistrot du vieux quartier, ou j’avais donné rencard à Blaireau… Celui-ci m’attendait déjà, armé d’une bonne blonde au teint pétillant.
Apres de viriles salutations et le blabla traditionnel d’amicale retrouvaille, je lui exposais la raison de ma venue.
L’affaire lui semblais des plus banale, pas de quoi fouetter un chat pensait il. Mais lorsque je lui donnais le signalement de mon assassin, et lui décrivait les détails que le gamin m’avait donnés, son regard changea soudain.
-« Fait voir le croquis du pendentif. »
Je sentais bien que quelque chose s’agitait dans sa tête, et j’attendais avec impatience qu’il daigne bien m’en faire part.
-« Ce n’est pas un L.N que tu cherche mais un N°7. »
Ceci ne m’avançait pas grandement, mais à son regard, je savais déjà qu’il pourrait m’en dire un peu plus, et que ça ne s’annonçait pas des plus folichon.
-« Un tueur au N°7 avec un cheval tatoué, j’en connais pas trente six, et si c’est bien de lui qu’il s’agit, alors je sais pas dans quel merdier tu t’es foutu, mais ça sens vraiment pas bon. »
Sentant que l’histoire allait être longue, je passait commande pour deux nouvelles mousses, et me mis à écouter avec attention.
Blaireau m’expliqua que du temps ou il travaillait pour le centre carcérale, il y avait en détention, un homme répondant au nom de N°7. Personne ne connaissait son vrai nom et tout le monde s’en foutait un peu, car rien que l’évocation de ce titre N°7 faisait froid dans le dos.
C’était un fracasseur de tête, un tueur a gage, parmi les plus réputés que le monde ait porté.
Avec lui s’alourdissait ce qui ressemblait le plus à un véritable « hall des fame » des plus grand effaceurs de 1866 à nos jours.
Et bien en voila de l’information. Je n’avais toujours pas de nom, mais visiblement je n’en avais pas vraiment besoin. En revanche je comprenais un peu mieux de quoi il retournait. Je commençais a pouvoir arrondir les angles et a y voir un peu plus clair.
Il me fallait désormais découvrir pour le compte de qui notre ami N°7 avait œuvré, et pour quelles raisons…..
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