Oui, le Silmarilion est ardu à lire et je découvre nouvelles subtilités à chaque fois que je me le retape (j'en suis bien à 10/12 fois).
Je crois que j'ai même plus accroché sur ce bouquin et les trois tomes des "Contes et Légendes Inachevés" que sur le seigneur des anneaux lui même.
Et puis ça me rappelle tellement de souvenirs excellents de rôliste et de l'atmosphère de jeu que s'en est presque à la fois euphorisant et nostalgique (soupiiiiiiiiiiiiiiiiiiiirrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr!!!!!!!!!!!!!!!!)
le soucis maintenant avec la lecture c'est que j'ai de moins en moins de temps à y consacrer (avec les vies de dingues qu'on mène, sans compter la lutherie!) et je sais pas comment tu fais Pedro pour arriver à en avaler 2/3 par semaine... Tiens pour rester sur un sujet qui doit te brancher, ma grande fille va avoir 11 ans, rentre au collège en septembre et "s'affirme" niveau caractère (sans compter le fait de vivre dans une famille recomposée, mais c'est plutôt bien géré d'un côté comme de l'autre), bref tout ça pour dire que je vais me remettre à Dolto sous peu, en tout cas avant de pêter un cable avec mon ado en devenir
EDITH : Beren le rapport est flagrant en effet,
mais tu ne le trouveras pas (enfin, normalement dans les appendices). Galadan est une invention, un personnage, le SEUL personnage que j'ai joué pendant plus de 10 ans avec un petit groupe d'amis accros. Comme je l'avais déjà expliqué dans le topic sur les pseudos c'est du Queyna (plus sur de l'orthographe) un des dialectes elfiques, et ça signifie "l'homme béni" (Galadan était un Dunadan ou Dunedain). Il a été créé et nommé pour moi par un ami qui dirigeait nos parties (et qui , accessoirement, était en cheville avec les gars de l'université française de la langue elfique). L'attachement est donc tout particulier pour se sobriquet.