Blondie : Les capitons c'est pas beau
Posté : mer. 16 juin 2010 14:10
Pour que vous compreniez bien ce qui m'amène, laissez moi vous narrer l'histoire qui m'est arrivée il y a peu et qui dure encore à ce jour.
Je me promenais sans but, dans un coin un peu glauque et malfamé de ce qu'on appelle le world wide web. Je n'étais pas là par hasard, non, j'avais moi même cherché cet endroit, quelques investigations sur des " moteurs de recherche " comme on dit. Je suis passé devant différentes enseignes, les tontons, chez Kamel C., mais j'ai été attiré vers un bouge dont la musique qui en sortait avait quelque chose de, comment dire, spécial.
L.A. s'affichait en grandes lettres, avec des ciseaux à bois croisés comme emblème. Je suis resté dehors la première fois, n'osant entrer et regardant à travers la vitre ce qui se passait à l'intérieur. Mais gêné de jouer aux voyeurs, je suis reparti vers mes pénates sans oublier pourtant cette douce mélodie qui m'avait, et je ne savais pas à quel point à l'époque, ensorcelé.
Forcément, comme vous pouvez vous en douter, j'y suis retourné. Mais plus sûr de moi, j'avais pris le temps de poursuivre mes recherches, et de ne pas arriver comme un cheveu sur la soupe. J'entre dans la place comme on dit maintenant, je vais pour commander quelque chose, quand un gars, Pédro qui s'appelait, me dit :
" Tant que tu t'es pas présenté, tu demandes rien, est-ce que j'entre chez toi sans frapper moi ! " Et sur ce il me désigne une porte, avec marqué BRAB dessus.
Je frappe, attends deux secondes et entre, la pièce est sombre, une tache lumineuse en son centre, elle éclaire une table où un bout de papier est posé. Dessus est noté : " règles de L.A. " avec tout un discours sur comment il faut se tenir quand on est ici. Je le lis avec attention et le pose. Une voix m'interpelle:
" T'as des questions ? "
"Non" je réponds
" Tu veux quand même rentrer ? "
Je déglutis , réfléchis à deux fois et réponds : "Oui"
"Alors prends cette porte"
Une lumière éclaira alors une seconde porte, sur laquelle les lettre T.R.O.M.B.I. étaient notées, je ne sais toujours pas à ce jour ce qu'elles veulent dire. Mais je suis entré, une lumière dans mes yeux m'aveugle et on me somme de me présenter moi et mes intentions. Je décline mon identité et ce pourquoi je viens. La lumière aveuglante s'éteint, mes yeux s'habituent et je me retrouve dans l'enceinte de L.A., beaucoup de monde se trouvait là, quelques uns sont venus me dire bonjour, d'autres sont restés plus en retrait. Tous étaient affublés d'un drôle de nom comme Caribou ( dit le cervidé aka le guide Clause des arbres ), mais en tout cas il y avait de tout, des grands des petits, des gros, des minces, des gentils, des chelous. Mais tous avaient la même passion, et c'est cette chose qui a fait que je suis resté là.
La première chose que j'ai faite là bas était brute de décoffrage, je ne m'étalerai pas dessus, un sujet y a déjà été consacré, de même que pour la deuxième. En tout cas j'ai toujours trouvé de l'aide. Mais si je viens à vous aujourd'hui, c'est pour vous parler de Blondie.
Mais le temps me presse, je vous laisse donc une photo d'elle, elle n'est pas bien prise mais je me cachais lorsque je l'ai faite, je vous raconterai son histoire une autre fois. Et vous détaillerai notre rencontre.
Je me promenais sans but, dans un coin un peu glauque et malfamé de ce qu'on appelle le world wide web. Je n'étais pas là par hasard, non, j'avais moi même cherché cet endroit, quelques investigations sur des " moteurs de recherche " comme on dit. Je suis passé devant différentes enseignes, les tontons, chez Kamel C., mais j'ai été attiré vers un bouge dont la musique qui en sortait avait quelque chose de, comment dire, spécial.
L.A. s'affichait en grandes lettres, avec des ciseaux à bois croisés comme emblème. Je suis resté dehors la première fois, n'osant entrer et regardant à travers la vitre ce qui se passait à l'intérieur. Mais gêné de jouer aux voyeurs, je suis reparti vers mes pénates sans oublier pourtant cette douce mélodie qui m'avait, et je ne savais pas à quel point à l'époque, ensorcelé.
Forcément, comme vous pouvez vous en douter, j'y suis retourné. Mais plus sûr de moi, j'avais pris le temps de poursuivre mes recherches, et de ne pas arriver comme un cheveu sur la soupe. J'entre dans la place comme on dit maintenant, je vais pour commander quelque chose, quand un gars, Pédro qui s'appelait, me dit :
" Tant que tu t'es pas présenté, tu demandes rien, est-ce que j'entre chez toi sans frapper moi ! " Et sur ce il me désigne une porte, avec marqué BRAB dessus.
Je frappe, attends deux secondes et entre, la pièce est sombre, une tache lumineuse en son centre, elle éclaire une table où un bout de papier est posé. Dessus est noté : " règles de L.A. " avec tout un discours sur comment il faut se tenir quand on est ici. Je le lis avec attention et le pose. Une voix m'interpelle:
" T'as des questions ? "
"Non" je réponds
" Tu veux quand même rentrer ? "
Je déglutis , réfléchis à deux fois et réponds : "Oui"
"Alors prends cette porte"
Une lumière éclaira alors une seconde porte, sur laquelle les lettre T.R.O.M.B.I. étaient notées, je ne sais toujours pas à ce jour ce qu'elles veulent dire. Mais je suis entré, une lumière dans mes yeux m'aveugle et on me somme de me présenter moi et mes intentions. Je décline mon identité et ce pourquoi je viens. La lumière aveuglante s'éteint, mes yeux s'habituent et je me retrouve dans l'enceinte de L.A., beaucoup de monde se trouvait là, quelques uns sont venus me dire bonjour, d'autres sont restés plus en retrait. Tous étaient affublés d'un drôle de nom comme Caribou ( dit le cervidé aka le guide Clause des arbres ), mais en tout cas il y avait de tout, des grands des petits, des gros, des minces, des gentils, des chelous. Mais tous avaient la même passion, et c'est cette chose qui a fait que je suis resté là.
La première chose que j'ai faite là bas était brute de décoffrage, je ne m'étalerai pas dessus, un sujet y a déjà été consacré, de même que pour la deuxième. En tout cas j'ai toujours trouvé de l'aide. Mais si je viens à vous aujourd'hui, c'est pour vous parler de Blondie.
Mais le temps me presse, je vous laisse donc une photo d'elle, elle n'est pas bien prise mais je me cachais lorsque je l'ai faite, je vous raconterai son histoire une autre fois. Et vous détaillerai notre rencontre.