L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

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Alexlyvity
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par Alexlyvity »

stephane isiar a écrit :bien joué les sur mors en bois Alex
Merci, mais à la fois c'est tellement facile à faire et tellement pratique !
Pedro a écrit : J'ai torché ça en dix minutes dans du CP de 10, mais les miens sont beaucoup moins classes..
Ils sont 20min moins classe plus précisément non ? Vu que j'ai mis 30min et toi 10 :lol: .
Les miens ne sont pas si classes, quand je vois l'étau en bois de Micka, j'ai plutôt honte de ce que j'ai fait.

Ce qui est vraiment un plus, c'est la méthodologie complète de l'affutage des racloirs devenue entièrement reproductible grâce aux mors, avec peu de marge d'erreur. Avant j'affilais en maintenant le racloir dans la main, c'était perfectible et physique au niveau des doigts.
gema1831 a écrit :Salut,
vu la taille du barrot, une contre-pointe suffit amplement pour l'usinage.
C'est vrai pour la plupart des usinages, mais ici le but était de faire des tubes en quelque sorte. Comme dit Enrico c'est pratique d'avoir le bout du barreau dégagé pour pouvoir percer / charioter.

Là où la lunette m'intéresse aussi c'est que pour faire une pièce je n'ai pas besoins de couper un brut avec un talon dans les mors, qui sera fatalement perdu. Avec la lunette je peux garder le barreau entier et ne travailler que le bout qui est nécessaire.
Si je ne suis pas clair je vous fait un schéma paint :).
Enrico a écrit :Ah j'ai une lunette fixe mais je ne l'ai jamais utilisée !
Cependant, il me semble que le concept c'est qu'elle a des poussoirs en bronze pour glisser sur l'acier gentiment.
En mettant du laiton ou de l'aluminium tu risques fort de rayer/enfoncer/marquer vu que les poussoirs sont probablement plus durs que la matière.
Pour des métaux doux, il faut peut être prévoir de mettre des poussoirs à roulement ou d'en fabriquer de nouveaux en matière plastique (le POM me semble être un bon candidat).
Ce sont effectivement des touches en bronze. Et il y a effectivement un risque pour rayer des métaux plus doux.
Mais en même temps la zone qui sert de palier avec la lunette n'est pas une zone fonctionnelle, donc qu'elle soit rayée ne gène pas. Et en plus je graisse, même si le bronze est "autolubrifiant". Ceinture et bretelles !
Enrico a écrit : Quant à la puissance du moteur, je dois être à 550w en triphasé et il n'a pas encore montré ses limites (soit que je ne lui en demande pas beaucoup, soit que c'est largement suffisant).
Je dis ça parce que mon tour peinait avec mes 350W monophasés et la lunette !
Je referais un test en ayant tourné une zone bien belle pour mettre les touches de la lunette. Je ferais cette zone entre pointes en me faisant un point de centre à la perceuse à main, à mon avis ça passe :). Ca sera ma première fois avec une contre-pointe sèche !
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Pedro
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par Pedro »

Alexlyvity a écrit :
Pedro a écrit : J'ai torché ça en dix minutes dans du CP de 10, mais les miens sont beaucoup moins classes..
Ils sont 20min moins classe plus précisément non ? Vu que j'ai mis 30min et toi 10 :lol: .
Disons que les miens sont 3 fois moins classes que les tiens et arrêtons les maths pour ce soir. :wink:
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Pronto
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par Pronto »

Les miens sont deux cales en je ne sais quel bois, et j'ai déjà passé plus de temps à les ramasser par terre que j'en aurai passé à les faire bien propres comme toi !
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Pedro
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par Pedro »

C'est justement parce que ça passe son temps à tomber que ça vaut le coup de passer 15-30 minutes à faire quelque chose de propre et fonctionnel.
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Mickaël
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par Mickaël »

Pour la lunette, il faut la placer au plus près de ton usinage. Et comme dit Enrico, les touches en bronze sur le laiton, ce n'est pas le mieux. Des touches à roulements seraient plus adaptées.

Ce que tu peux tenter, c'est placer ta lunette au bout du barreau, en essayant de la régler pour que ça ne freine pas trop la rotation, tu fais le trou de centre, et ensuite tu peux usiner avec la contrepointe. De cette façon, le centrage sera plutôt bon.

Pour la puissance, 350W c'est la puissance de ma perceuse à colonne mais tu devrais pouvoir usiner sans trop forcer. Tu ne perceras pas du 42CD4 avec un foret de 25 mais pour du laiton, ça va.
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par Alexlyvity »

OK merci Micka pour les précisions :). Yapluka comme on dit, je vais avoir des entretoises à faire dans pas longtemps, je pourrais expérimenter !
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par Alexlyvity »

Hello !

Juste avant le crash du forum, j’ai acheté chez un pote son pantographe Deckel GK12. C’est en fait une petite machine qui peut faire pantographe de gravure, défonceuse, fraiseuse (en bloquant le pantographe), copieuse 3D en fraisant avec le pantographe, etc… Le tout avec la qualité Deckel.
Elle ressemble à ça dans le garage du pote :
Image

Et le système de pantographe fonctionne comme ça :
Image

Par contre, il y avait pas mal de taff avant de l’avoir disponible à l’atelier, ça m’a bien pris 2 mois ! J’m’en vais vous résumer ça .


1. Préparatifs – changements d’implantation dans l’atelier :

Le premier truc, c’est de trouver comment caler cette nouvelle machine de presque 1 m² au sol dans mon mini atelier déjà bien rempli.
Déjà, j’ai eu un petit coup de pouce du destin, on m’a donné ce meuble à tiroirs d’atelier, le meuble orange derrière la perceuse :
Image

C’est fou le bazar que l’on peut mettre à l’intérieur de ce truc ! J’ai pu virer l’armoire qu’il y avait avant, j’ai gagné un pseudo plan de travail sur le meuble (du genre desserte d’atelier fixe), la circulation s’est améliorée dans le fond de l’atelier. Et il y a encore des tiroirs vides !!


Ensuite, pour travailler l’implantation, j’ai laissé tomber le crayon de papier sur petits carreaux. Cette fois-ci j’ai joué moderne : j’ai tout retracé sur un logiciel pour pouvoir faire l’implantation.

La méthode est hyper efficace ! Le plus long c’est de tout retracer (compter bien 2 ou 3h de travail), mais après ça va très vite.
Voici l’implantation avec le meuble orange, et la Deckel qui n’est pas encore implantée :
Image

Voici la meilleure implantation que j’ai trouvé – j’ai mis la caisse à outils en noire à l’abris de l’auvent du garage :
Image

Petite parenthèse, le meuble machine qui est en dehors de l’atelier sur la première image d'implantation est ma future ponceuse cylindrique oscillante à base de perceuse à colonne :
https://lutherie-amateur.com/Forum/view ... 84#p683384
Image
Image
Comme elle sera sur roulettes, je la mettrais dans mon deuxième garage qui me sert de cave et de stockage de mon bois. Elle ne viendra à l’atelier que lorsqu’elle sera nécessaire.


Pour revenir à l’implantation, le gros changement vient de l’emplacement du lapidaire qui se déplace à l’entrée du local. Du coup, l’établi mobile passe d’une position centrale dans l’entrée à une position derrière le lapidaire. Comme c’était un endroit qui me servait de débarras pour mes serre-joints longs et mon balai, j’ai fait ce petit rangement à côté du meuble à tiroirs :
Image

Ce petit rangement m’a libéré un peu de place autour de l’établi.
Ainsi organisé, l’atelier est opérationnel pour l’utilisation des machines. Quand je passerais au travail avec les outils manuels, le lapidaire retournera séjourner au fond de l’atelier.

Dernière chose, au fond de l’atelier, j’avais aussi deux-trois planches que j’ai viré pour gagner encore quelques centimètres.


2. Suite des préparatifs – mise sur roulettes de la fraiseuse :

Pour les mini ateliers comme les nôtres, LE grand classique reste la mise sur roulettes de tout ce qui peut l’être. C’est ce qui permet de garder toutes les machines et tous les outils exploitables en permettant un changement de configuration de l’atelier en quelques minutes.

La difficulté pour mon pantographe était double :
• La machine fait 450kg à vide, ce qui en fait la plus lourde de l’atelier (et de loin).
• Les tables de travail du pantographe, et notamment la table de copiage (à droite sur toutes les photos), sont déjà très hautes même pour mes 1m85. Donc si on rajoute un plateau de CP (40mm) et 4 grosses roulettes (160mm), impossible de travailler dans de bonnes conditions.

La solution est donc simple : faire un gros plateau bien costaud avec le plan de pose de la machine rabaissé au maximum. J’ai profité d’avoir des plateaux de CP de hêtre de 800mm x 1500mm en 40mm d’épais, et j’ai fait ça :
Image

Comme j’ai travaillé aussi vite que possible, c’est pas hyper hyper joli, donc hop ! Peinture noire satinée pour masquer les défauts :
Image

Pour prémunir le plateau des risques de délaminage lorsque les 450kg de la machine seront posés dessus, j’ai fait toute une série de trous et j’ai mis des tiges filetés de 10mm boulonnées de part et d’autre :
Image

Et voilà, j’ai gagné quasi 140mm de hauteur de travail et la machine est mobile.
J’ajoute que j’ai pré-percé :
• 4 trous de fixation de la machine pour la brider sur son châssis,
• 4 trous avec inserts taraudés pour mettre le châssis sur pieds et m’affranchir des vibrations que j’ai lorsqu’elle est sur les roulettes.


3. Déplacement de la machine :

On s’est fait ça en plusieurs jours. Mon pote a récupéré une grande chèvre d’atelier qui nous a été d’une aide précieuse.
D’autre part, la doc technique de la machine est bien fichue et on y voit comment manutentionner la bécane.
Du coup, voici la machine sortie et couchée pour la rentrer dans le fourgon :
Image

Le lendemain soir, direction mon atelier et on fait l’opération inverse :
Image

Et la voici sur son châssis à roulettes :
Image

Une fois qu’on en est là, le plus dur est fait !
En tout cas la clef pour ce genre d’opération c’est de bien réfléchir avant de faire quoi que ce soit, et de prendre son temps (même – et surtout – si on est pressé).

Et voilà !
Image

Et le tiroir remplis de tout ce qui est utile à ma fraiseuse :
Image

La machine était quasi complète, seule une pince Ø6 était cassée – je l’ai racheté sur Ebay Allemagne pour 40€ et j’ai maintenant tous les accessoires nécessaires. C’est cher pour une pince mais c’est la plus grosse de toutes, et donc la plus importante. Je ne pouvais pas m’en passer.
Par contre, j’ai toutes les brides, j’ai aussi les piges pour le copiage, des courroies de rechange… C’est hyper précieux d’avoir une machine complète, je suis trop content !
La seule chose qu’il me manque si je devais faire la fine bouche c’est un étau digne ce nom, mais je chipote un peu. Ce pantographe vient déjà tellement de démultiplier les possibilités de mon atelier !

J’ai aussi eu en prime tout un jeu de lettrages pour pouvoir graver du texte sur mes pièces. Je vous ferais une photo à l'occasion :).

Je vais peut-être en avoir besoins sur mes pièces de skate, car lorsque je fais usiner des pièces je fais graver des numéros de série au laser. Sauf que parfois c’est un peu compliqué à sous-traiter (je manque de temps pour m’en occuper). Avec le pantographe, c’est l’histoire de 30min par planche maximum une fois bien pris en main.

La suite dans les prochains jours ! :beer:
Modifié en dernier par Alexlyvity le ven. 7 avr. 2023 11:02, modifié 1 fois.
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par Dagda »

Top ça !
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gema1831
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par gema1831 »

Bien vu!
TOP.
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par fidler »

Rhoo la bête, veinard...
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par Alexlyvity »

Merci :P .

Zou ! La suite !


4. Remise en route de la machine :

La bécane n’avait plus tournée depuis 7 ans. Elle était convenablement stockée, mais il y a quand même eu de la rouille superficielle à virer à la WD40 et à l’huile de coude pour que tout coulisse bien :
Image

Puis j’ai refait les branchements électriques chez mes parents avec l’interrupteur d’origine et un bouton d’arrêt d’urgence. J’ai pu réinstaller le moteur :
Image

Seul défaut : le moteur étant installé avec un condensateur, il manque vraiment de couple au démarrage : j’ai du mal à le faire tourner à 8000 tr/min. Or la machine est prévue pour aller jusqu’à 20 000 tr/min, ce qui sera appréciable dans le bois. Je pense que rajouter une petit condensateur de démarrage ne serait pas du luxe – il faut que je me penche sur la question.
J’ai vu que sur Labobine il y a tout un chapitre qui détaille tous les branchements faisables :
https://sites.google.com/view/labobine- ... %A9marrage


Côté sécurité, je trouvais nécessaire d’avoir un bouton d’arrêt d’urgence côté opérateur. En effet, si on regarde la machine, la fraise se trouve pile à mi-chemin entre l’opérateur et l’interrupteur. Pas top !

Du coup, avec un beau morceau d’épicéa et une chute d’orme, j’ai bricolé ce petit support dont je suis très satisfait :
Image

Il y a même un joli petit presse-étoupe pour les câbles à l’intérieur :
Image

Comme ça, je pourrais éteindre en urgence la machine depuis ses deux extrémités :
• A gauche avec l’interrupteur standard,
• A droite avec le bouton d’arrêt d’urgence si un jour j’ai un pépin :
Image


5. C’est partiiiiii !

Premiers essais !!
J’ai bridé un étau, installé une fraise D10 en HSS, mis un bloc de CP de hêtre dans l’étau et réglé la vitesse à 5000 tr/min :
Image

En version pantographe avec une démultiplication de 1:3, c’est hyper souple, c’est précis y compris en travaillant à la volée, en même en prenant 25mm les petits 200W du panto ne peinent pas. Trop bien !
Image

Ensuite, je voulais voir ce qu’elle avait dans le ventre pour fraiser du métal, particulièrement du laiton. J’ai toujours eu très envie de me faire des rabots en laiton depuis que je m’étais fait ce petit rabot avec la fraiseuse de mon ami modeleur :
https://www.lutherie-amateur.com/Forum/ ... 34#p604834

Donc j’ai mis dans l’étau un rebut en laiton que j’avais choppé dans un ancien taff. Sans changer les vitesses, j’ai mis une fraise D6 en carbure et j’ai bridé le pantographe :
Image

Et bien mes amis, je suis très agréablement surpris ! Je prends 2mm par passe en pleine matière, sans vibrations ni ralentissements du moteur :
Image

Il faut se rappeler qu’on n’est pas du tout sur une vraie fraiseuse hyper rigide. La broche est tenue sur un ensemble articulé, le moteur est tout petit… Et bien en l’état c’est très largement suffisant pour tout ce que je vais avoir à faire ! Je ne pensais pas que ça ne broncherait pas du tout. C’est vraiment de la super cam’ !
Donc quand j’aurais du temps à consacrer à ça, je me referais un mini rabot de paume. Trop trop bien !


Autre projet de découverte de la machine spécial Noël : faire des petits cadeaux en gravure à la volée.
En bridant un bout de noyer, avec un facteur d’échelle de 1:4 (4 millimètres de déplacement sur la table du modèle déplace la fraise de 1mm), il me faut moins de 5 minutes pour graver un petit paysage de montagne dessiné à l'arrache sur du scotch sur la table de copiage :
Image
Image

Le lendemain, j’en ai fait une série de 6 pour un pote en moins d’une heure, traçage / dégauchissage / sciage inclus !

Bref, j’en suis aux débuts de l’apprivoisement de ce petit pantographe, mais déjà je suis trop content.
J’ai un projet de fraisage sur bois à faire rapidement, il faut que je teste la version 3D du pantographe, que je permette au moteur de tourner à 20 000 tr/min, que je fasse une extension de table pour la partie fraisage (actuellement trop petite pour que je bride un skate ou une gratte)… J’ai aussi commencé à nettoyer la broche, il faut que je la démonte complètement car il y a un ou deux petits trucs à reprendre.

Ceci dit, j’ai vraiment l’impression d’avoir acheté exactement la machine qu’il me manquait pour faire tout ce que je souhaite faire dans un atelier. J’étais encore dépendant de la CN de mon pote une ou deux fois par an, maintenant je suis 100% autonome. Je suis trop content !

Image

Et en plus, elle a de la gueule !
8) 8) 8)
Modifié en dernier par Alexlyvity le ven. 7 avr. 2023 11:03, modifié 1 fois.
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par Mickaël »

Elle est géniale cette machine!
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Enrico
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par Enrico »

Belle bécane !
D'après les photos je pense en avoir compris le fonctionnement général, à part l'entraînement de la broche.
Comment la courroie de broche reste tendue malgré les mouvements du pantographe ?
Il y a une liaison rigide entre la broche et le bras qui porte la poulie intermédiaire ?
(je crois la voir sur deux des photos, mais sur aucune des autres)
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Galadan
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par Galadan »

Je m'interroge aussi comme Enrico sur l'entrainement de la broche. L'engin prend 20000 t/min avec une courroie? Et aussi fine que ça ? :shock:
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par Dagda »

On voit le système de tension sur cette photo.
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Alexlyvity
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par Alexlyvity »

Merci ! La grosse courroie (moteur - poulie intermédiaire) est simplement tendue à la main et maintenue en serrant sur le trou oblong du bras de liaison.

La petite courroie est maintenue en tension avec un bras de longueur réglable, avec un ressort au bout. On le voit sur la photo avec les courroies.

Si pas clair je ferais un schéma.
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par Alexlyvity »

Ah oui, merci Dagda.

Et il prend 20 000 tr avec 2 courroies ! La première fait 4mm de diamètre, la seconde 3mm. Cette machine me surprend toujours.
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par jadespearl »

super intéressant ton reportage !
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par Alexlyvity »

Merci !

D'ailleurs j'ai trouvé une autre application à mon pantographe à roulettes : support réglable pour sciage de gros morceaux à la SAR :lol: (et c'est vraiment agréable à utiliser) :
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Galadan a écrit : mer. 4 janv. 2023 09:00 Je m'interroge aussi comme Enrico sur l'entrainement de la broche. L'engin prend 20000 t/min avec une courroie? Et aussi fine que ça ? :shock:
La réponse en image ;) :
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Re: L'atelier d'Alex : roulettes, musique et compagnie

Message par Alexlyvity »

Du coup pour ceux qui voudraient comprendre comment fonctionne un pantographe, il y a cette vidéo. On voit un Deckel GK21 (quasi le même que le mien, avec une broche plus grosse) faire du 3D :


Et un autre gars avec un autre GK21 qui l'utilise en 2D (à partir de 5 min) :
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