LUTHERIE AMATEUR

Salut tout le monde !

J'envisage d'acheter une machine CNC qui puisse convenir à un luthier amateur, mais qui pourrait également convenir à divers travaux sur bois comme la confection de petits meubles par exemple. Est-ce que quelqu'un pourrait me conseiller sur le type de CNC qui serait le mieux adapté pour ce genre de travaux ? Je suis novice dans le domaine et ça m'arrangerait bien si vous pourrez me recommander sur des modèles ou des caractéristiques spécifiques à rechercher.

Bonne continuation à tous

Quelle drôle d’idée !
Crayon, scie, rabot, ciseau.

Je ne souhaitais pas être le premier à le dire mais oui, si tu veux faire de la lutherie et des meubles... une rabot/dégau et une scie à ruban (ou éventuellement une scie circulaire sous table) seront bien plus indiquées, pour ce qui est des machines.

Hugo52 a écrit : ↑ven. 5 janv. 2024 22:48 Salut tout le monde !

J'envisage d'acheter une machine CNC qui puisse convenir à un luthier amateur, mais qui pourrait également convenir à divers travaux sur bois comme la confection de petits meubles par exemple. Est-ce que quelqu'un pourrait me conseiller sur le type de CNC qui serait le mieux adapté pour ce genre de travaux ? Je suis novice dans le domaine et ça m'arrangerait bien si vous pourrez me recommander sur des modèles ou des caractéristiques spécifiques à rechercher.

Bonne continuation à tous

Bon j'édite et je reposterai si tu reviens un jour.

Hugo52 ne s'est pas connecté depuis qu'il a posté son premier et unique message ...

AlBournach a écrit : ↑sam. 13 janv. 2024 10:25 Hugo52 ne s'est pas connecté depuis qu'il a posté son premier et unique message ...

C'est pas grave, on aura sans doute la recette de la quiche lorraine..

Ouais, alors bon, c'est la quiche lorraine adaptée à la mode Pedro, hein. Disons que j'ai bricolé ci et ça, et que c'est comme ça que je l'aime.

Pate feuilletée, encore. Industrielle, toujours.
50cl de crème fraiche, 3 oeufs, 150g de dés de jambon et 75g de lardons nature, plus de l'emmental rapé (dans la quiche, d'abord). L'emmental et l'oeuf sont la garantie du maintien de l'appareil une fois cuit : ça se solidifie au petit poil.
Je répands tout ça sur la pate et je recouvre d'emmental à nouveau. Je re-couvre : pour de vrai.
40 minutes à 180°.

Pas la peine de mettre une fève, ça surprend trop les gens.
La prochaine fois, tarte au citron meringuée.

Vous voulez ma recette de quiche épinards/truite fumée ? elle marche bien aussi.

Ha oui effectivement, c'est un peu gonflant de prendre le temps de répondre et de ne pas avoir de retours. Et ce n'est pas la première fois...
Par contre les gars, vous avez la version sans gluten de vos quiches ?

Il faut acheter une pâte feuilletée sans gluten.
Et sinon, pour la tarte citron meringuée, je veux bien ta version.
Avec la version Pedro, y a jamais rien de trop !

Alors la tarte au citron meringuée, c'est pas la même danse.

Il y a trois chantiers différents.

D'abord on fait la pâte sablée soi même. 1 oeuf, 250g de farine, 125g de beurre, 50g de sucre.
Pour les questions de gluten, chacun se dépatouille à adapter.
On étale dans un moule, sur du papier sulfurisé et on met des coups de fourchette pour pas qu'elle gonfle.
Et hop, 8 minutes à 180 après préchauffage.

Dans le même temps, il faut le zeste d'un citron, le jus de 3 citrons, 150g de sucre et trois oeufs, qu'on met sur le feu et qu'on remue sans jamais s'arrêter. Il va se passer quelque chose : au bout d'un moment, les oeufs vont cuire et le mélange va se transformer en une sorte de gelée. C'est très caractéristique, vous pouvez pas le louper.
Il faut bien mélanger, sinon ça fait des gros grumeaux de blanc cuit et c'est pas cool du tout.
Une fois ça fait, on lisse ça sur la pâte cuite et on remet au four pour 10 minutes toujours à 180.

3e chantier, on mollit pas. La meringue.
3 blancs d'œufs, 100g de sucre.
On bat les blancs en neige et une fois que c'est pris, on ajoute le sucre.
On met ça dans un sac congélation de trois litres, on coupe un tout petit coin. Wow ! Une poche à douille faisez le toi même !
Moi, je fais des petites boulettes de meringue avec une petite pointe en chapeau de lutin. Mais c'est chacun qui voit. À mon avis, c'est quand même vachement mieux d'attendre que la pâte et son appareil aient un petit peu refroidi, histoire de pas casser les blancs en neige.

La cuisson, il y a pas de règle. C'est 180, et j'arrête quand les petits chapeaux de lutins commencent à dorer.

Bon app

Miam!

On met ça dans un sac congélation de trois litres, on coupe un tout petit coin. Wow ! Une poche à douille faisez le toi même !

Pour qu'on se rende compte, on arrête la cuisson quand ça ressemble à ça.

C’est classe, y a pas à dire !
C’est la meringue que j’ai raté la dernière fois.
Dans ma recette, il fallait faire un sirop, et l’incorporer avant de battre les blancs.
Mais ça marche pas, faut incorporer le sucre dans les blancs déjà en neige.

Comment vous faites pour incorporer convenablement un truc dans des blancs déjà montés sans les démonter ? J'y arrive jamais, même en allant très doucement.

Doucement avec delicatesse, par petites quantités, dans un geste emprunt de légèreté

caribou a écrit : ↑mer. 17 janv. 2024 12:11 Comment vous faites pour incorporer convenablement un truc dans des blancs déjà montés sans les démonter ? J'y arrive jamais, même en allant très doucement.

Ben comment tu fais ta mousse au chocolat, alors ?

Je sais pas trop, j'y ai jamais réfléchi. Je fais les blancs en neige avec des œufs pas trop datés et qui viennent de sortir du frigo (au dernier moment). Paraît que le coup de la pincée de sel est une connerie, mais je le fais quand même.
Je les bats avec un batteur électrique que je manipule à la main et j'incorpore le sucre comme un bourrin.
Franchement, les seules mauvaises surprises, c'est avec des œufs pas assez froids ou une tarte trop chaude (là, ça retombe, mais sur la tarte. Ca donne très très fort envie de pleurer...)

Pedro a écrit : ↑mer. 17 janv. 2024 13:33 Ben comment tu fais ta mousse au chocolat, alors ?

Ben justement, elle n'est pas très ferme.
Je n'ai pas de problème pour monter les blancs, c'est au moment de l'incorporation d'une truc que je galère. Plus on va doucement, plus faut le faire longtemps et plus on le fait longtemps, plus ça les démonte.

Je le redis : j'incorpore le sucre comme un bourrin. Ca va vite. Et si les blancs sont très fermes, ça tient bien.

Pour la mousse au chocolat, toute plaisanterie mise à part, c'est pas la même, faut y aller doucement, à la spatule en bois, avec un geste rotatif à la con. Et elle se raffermit au frigo.