Et voila, une nouvelle histoire qui commence. Un gas m’avait contacté la veille pour une sombre histoire de chantage, de vol, à propos de plans secret ou je ne sais quoi. Au téléphone le gas m’avait parut anxieux et effrayer. Il pleurnichait presque. Pitoyable.
Je devais passer le voir, et ce rendez vous m’avait conduit dans les banlieues ouest de la ville, dans un petit patelin aux apparences bien tranquille. Le gas habitait dans un ancien atelier d’après ce que j’avais compris. Je me suis rendu au numéro indiqué, et là, j’ai bien senti que quelque chose ne tournais pas rond.
La porte était entrouverte, et personne ne répondait a mes appelles. Je jetais un coup d’œil indiscret, et c’est la que j’ai découvert le bordel qui régnait dans l’atelier. Tous étaient sans dessus dessous. Continuant dans l’indiscrétion, je rentrait dans l’atelier sans y avoir été invité.
La pièce était une véritable boucherie. J’étais pris de haut le cœur en déambulent dans l’atelier, et je devait fournir beaucoup d’effort et serrer les dent pour ne pas tous rendre. Des lambeaux de chairs étaient étalé partout sur le sol, et certain avaient giclé sur les mur, tel des copeaux de bois jeter là de façon nonchalante. Des outils dispersés un peu partout sur le sol, de véritables instruments de torture encor chaud. Et c’est là que je découvrais le cadavre.
Le corps était en piteux état, une vraie boucherie. Le gas avait été lacéré dans les grandes largeur, et couper en morceau.



Le spectacle était tellement dur a soutenir que j’ai même pas été foutu de prendre des clichés correct, tellement je tremblais. Mes photos étaient aussi troubles que cette affaire. C’était mon indique de toute évidence, Gibson qu’il s’appelait, mais maintenant, il n’allait plus me chanter la sérénade. Pauvre gas… Je crois que même les toubib auraient du mal a recoller les morceaux, j’imagine bien le tableau…

il n'y avait plus que grace a quelques photos restées intact, que je pouvais essayer d'immaginer a quoi ressemblait ce pauvre Gibson.

De toute évidence, la gas avait été violement frapper, avant de se faire déchiqueter, a l’aide d’une sorte de batte qui avait ete oublier sur les lieu. Mon seul indice. Mais ce n’était pas n’importe quoi comme batte, une belle réalisation, bien ergonomique. Le gas qui avait fait ça, avait bien réfléchit a son truc. Le manche était solide et la tête, qui avait été rapporté sur celui ci, avait une belle inclinaison de 15° environ, parfait pour régler les différents, et s’accorder de manière musclé.






Le tout était parfaitement taillé, du bel ouvrage.


Mais l’indice était plutôt maigres. Le morceau de bois était en érable d’Oregon. De la bonne came. Mais Le seul gas du coin qui fournissait se genre de matos, un certain Larry , était blanc comme neige, forcement…
Ce n’est pas les méthodes de la mafia, plutôt un truc genre serial killer, ou tous simplement un barjot. Peut être bien un règlement de compte a la réflexion… Je commençais déjà à piétiner. Pas le moindre indices. J'avais du mal a prendre du recule, j'essayais d'immagnier les choses, mais c'etait pas evident, il manquait encor trop d'elements.


Et puis soudain un numéro de téléphone. Il était sous mes yeux depuis le début, mais je l’avais laisser sur la touche, en n’y prenant pas garde.

Ca allait peut être pouvoir m’aider… Mince la ligne est en dérangement. J’aurais peut être plus de chance demain…