l'enquete "Les Paul".... Chapitre 3 [edit 11/09/08]

[Pedro]

Ah merde, c'est une ouie ! J'avais pas du tout compris, dis donc.
Belle idée, et joliment réalisée. Bravo !

[fidler]

Super bien fait, à la limite, si tu veux rendre les points de fixation moins visibles encore, tu les paints en noir, comme ça si ton fond est noir, ça se verra moins...
Néanmoins, chapeau...

[super_taz]

:malades:

[aymaleo]

J'avais lu le message vendredi , mais j'avais completement oublié de te feliciter pour ton travail et ton imagination.
On retrouve bien l'ambiance Mike Hammer entrain d'astiquer Betsy (non betsy n'est pas la secretaire a la genereuse poitrine)

[métal-cacahouette]

le deuxième chapitre est encore mieux que le premier, ca sent le best-seller !! :D

super boulot

[Necromagnon]

:snif:

non mais non... mais... comment?... je.... gné... argh!!



j'en... m... mots...

Comme l'a dit Fidler, tu peux peindre les points d'attache en noir, ça les rendra nettement moins visible... mais à la rigueur, c'est meme pas nécessaire, on bave tellement devant le travail que personne ne fera gaffe...

[MrPillow]

hop je deterre un chouia.. Vu que je dois pas etre le seul a attendre la fin de l'histoire

[Spartacus]

vrai!!!!

[Phraid]

heuuuu! Non, rien.................... puisque tout à déjà été dit.

:app: :yap: :dance: :accord10: :accord7: :mdr5: :mdr6: :linux:

Ah, si!

peut être un effort de lumières pour les photos

Surtout pas! C'est sombre comme un polar.

[Foudraxx]

Durant ces quelques semaines, j’avais passé le plus clair de mon temps à essayer de dénouer toute cette affaire. Mais mes investigations n’avaient en rien aidé mon enquête. J’eu tout juste l’opportunité de mettre un nom sur ce n°7, un certain Jack d’après quelques indiques de confiance.
J’avais donc un effaceur, qui répondait au doux nom de Jack, employé par je ne sais quel obscure tordu, peut être un lien avec cette fameuse « The Rock corporation », afin de liquider un pauvre artisans complètement effrayé par une sombre histoire de plan et de chantage.
Tout ceci était à mes yeux, aussi limpide que de l’eau de roche bretonne, après le passage de l’Erika.

Dzzzzztt…..Dzzztttt… Dzzztttt
Dans le judas de la porte, se tenait la tête toute difforme d’un homme à la mine blasé et visiblement des plus impatient, coiffé d’une casquette « Shred Ex ».
-Bonsoir m’sieur, une lettre pour vous… vous voulez bien signé là s’il vous plait.
Je comblais les attentes du monsieur en le gratifiant d’un magnifique autographe, et refermais déjà la porte en examinant la dite lettre. C’était un format A4 en papier kraft, sans autre indication que mon adresse.
Je déballais doucement le contenus fournit de l’enveloppe, tout en me délectant des dernières larme de mon Sky. Il y avait là toute une tripotée de paprasse, des croquis, des plans et des espèces de schémas de câblages…
Au milieu de tous ça une petite enveloppe coiffé d’un post-it.
« Ceci est une enveloppe confidentiel, laisser par monsieur Gibbson, avec comme instruction de la remettre aux autorités compétente en cas de problème. Voila chose faite. »
Et bien, plus anonyme comme post-it ça va être difficile… je déchirais l’enveloppe et découvrait une très courte lettre de Gibbson lui-même, à en croire la signature, qui stipulait :
« L’heure est grave, Si je trépasse contacter le Forgeron… »

Voila qui venait a merveille éclairer ma lanterne. Un fin soupçon d’amiante de Clemenceau venant troubler mes pensées pourtant si limpides…Je me laissait donc tomber lourdement dans mon fauteuil, en attendant que l’alcool face son effet et me plonge dans les méandres d’une sombre et coutumière imagination…



La nuit fut courte et de maigres conseils. J’avais tous juste pris le temps d’avaler un café a moitié froid, et je faisait déjà route vers le quartier des artistes. Sorte de refuge populaire un peu bohême, ou les artistes en tout genre aiment à se rassembler. Quartier propice à l’éveil de leur inspiration, nourrit par l’absinthe.
Je m’était rendus là en espérant que le titre de « Forgeron » que portait mon futur contact, n’appartenait pas au domaine de la métaphore. De toute façon je n’avais pas vraiment d’autres idées en tête, et cette balade ne pouvait être que salutaire pour mon foie.
J’entrepris donc de questionner les quelques illuminés et autres farfelus que je croisait sur ma route, et il ne fallut pas longtemps pour que l’un deux me crache le morceaux.
Le Forgeron oeuvrais dans un atelier a la limite du quartier. D’après mon indique de fortune, il s’agissait d’un certain Foudraxx, dirigeant d’une petite firme de lutherie…
Je déambulais donc dans les ruelle sales et bruyantes et tous a coup je finis par croisé le chemin de l’imposante silhouette d’un forgeron qui se pavanais sur la devanture d’un atelier, et autour duquel on pouvais lire « Original Foudraxx Custom Shop ». Rien qu’à l’allure de la devanture on pouvait deviner que le monsieur devait être un sérieux mégalomane inspiré.



- Bonjour lançais je, en refermant la porte.
Du fond de l’atelier, une tête remuât et un gas vient à ma rencontre, arborant un magnifique T-shirt a têtes de morts toutes d’humeur très conviviale…
- Que puis je faire pour vous ?
- Je souhaiterais voir Foudraxx.
- C’est moi-même
J’expliquais au Forgeron la raison de mon venu. L’homme semblais abattus par la nouvelle de la mort de Gibbson et semblais un peu perdu lorsque je lui exposait ce qui n’était encor que des suppositions.
En réponses à mes propos, il m’expliqua que Gibbson était un ami avec lequel il travaillait souvent à la conception de nouveaux instruments. Ils avaient se malin plaisir de défier les plus grands, et de mettre a jour de nouveau concept novateur…
Les plans que j’avais reçus la veille, étaient ceux de leur dernier projet en date.
Il s’agissait d’une guitare aux caractéristiques spécifiques et innovantes. Ils avaient œuvre à la réalisation d’une lutherie, présentant une alchimie parfaite des essences, et d’une conception à l’acoustico dynamique sans faille. Cet ouvrage avait pour but de délivrer des fréquences acoustique d’une précision et d’une finesse remarquable… un véritable instrument d’envoûtement. Cependant il ne comprenait pas très bien, le lien qui pouvait unir ce projet, certes intéressant, mais ne constituant un trésor que pour ces deux protagonistes, et des hommes de mains près a tuer ?
Je sentais bien que le monsieur se creusait le citron afin de recoller les morceaux, mais ça ne semblait pas évident. Le forgeron avait œuvre sur l’instrument et en connaissait les spécifications, mais il n’avait pas connaissance de la partie administrative du projet qui incombait à Gibsson. Il n’avait donc aucune idée de qui avait commandé cet instrument.
Cependant le terme de « corporation » lui rappela vaguement une discutions qu’il avait eu avec son confrère. Il se souvient s’être étonné que le projet soit à l’initiative d’une compagnie, mais n’avait pas apporté plus d’intérêt à ce détail.

Puis comme intrigué, le Forgeron stoppa son exposé et du tas de papier contenu dans l’enveloppe il en retira une feuille qui présentait le schéma de câblage de l’instrument. Il resta muet quelques instant et se laissa tomber sur sa chaise.
- ça c’est intéressant…lancat il en examinant avec soin le dit papier. Je ne m’occupe généralement pas du câblage des instruments, c’est le travail de Gibbson, c’est lui qui met au point des câblages toujours plus riche et innovant, c’est son domaine. Mais celui-ci me dit quelque chose, une impression de déjà vue…
Je restais bêtement là à attendre que les souvenirs resurgissent dans l’esprit du Forgeron. Je n’affectionnait guère le fait de devoir rester accrocher a ses lèvres, mais n’ayant pas le choix je pris mon mal en patience et offrit a mes poumons le doux parfum d’une blonde au cœur de braise.
Soudain Le forgeron repris la parole. Il ne s’était pas tromper, il avait déjà vu ce complexe câblage. Il s’agissait d’un prototype que Gibbson avait mis sur pied après s’être intéressé de près à la physiologie du tympan et de l’appareil auditif de l’homme. Il avait reussit à isoler les fréquences clé du spectre auditif, et grâce a un jeu de coupe bas et d’amplificateur, avait mis au point un system capable de cibler avec précision ces fréquences clés. Il s’agissait du system « EMG », le Eardrum Manipulation Gear.
Je ne comprenais malheureusement pas tout ce que m’expliquait le forgeron, et donc poliment j’attendis la conclusion de sa réflexion.
-Je commence a comprendre mais je craind le pire… voyez vous l’alchimie parfaite des essences et une géométrie acoustico-dynamique offre une onde d’une limpidité hors du commun et, associé au system EMG, ce spectre sonore serait composé d’un savant mélange de fréquences prédéfinit qui, en stimulant l’appareil récepteur, serait capable de soumettre n’importe quel tympan à son bon vouloir. L’objectif n’était donc en rien de réaliser un instrument à la versatilité hors du commun, mais de créer une arme redoutable et machiavélique, une arme capable de soumettre et de conquérir les tympans du monde.

D’un coup d’un seul, tous mon Puzzle s’assembla dans mon esprit. La compagnie « The rock » voulait acquérir l’arme ultime pour conquérir le monde. Elle engagea pour ce faire un spécialiste en la matière, Gibbson. Mais la confiance n’est pas au beau fixe, « The Rock » ne fait pas confiance à Gibbson. Il sent le coup fourré, il sent que Gibbson va cracher le morceau.
Alors Il engage Jack, afin de récupérer les plans mis au point par Gibbson, avant qu’ils ne tombent en de mauvaises mains. Il met à mal le pauvre gas, mais voyant que celui-ci n’est pas du genre coopératif, il met fin à son contrat, définitivement.
Il fallait que je me rende a la source, a la Corporation…

Ne sachant pas trop vers quoi je me destinais, et comme prudence est mère de sûreté, je prenais soin de garnir généreusement la doublure de ma redingote.



La corporation n’était qu’à quelques pâtés de maison, juste à la sortie de la ville. Les rues étaient illuminées de grandes guirlandes lumineuses rouges et vertes, et personne ne déambulait sur les trottoirs, si ce n’est quelque sans abris au désarroi d’être seul pour le soir de Noël. En arrivant sur le parking, je prenais soin d’éteindre mes phares afin de ne pas trop attirer l’attention. La nuit était déjà tomber et les locaux, pourtant éclairer, n’affichait pas grande agitation, tous juste un gas en uniforme de sécurité, qui se tenait derrière le bureau de l’accueil.
Je me présentait donc a celui-ci, et demandait d’un air naïf si il était possible de voir « The Rock ». Bien évidement l’entretient n’était possible que sur rendez vous. Je lui présentais donc l’air sévère, ma fausse plaque de flic. Celui-ci ronchona et fini par décrocher son téléphone.
Et c’est là que les ennuis commencèrent, comme je m’y étais attendu. Les effaceurs du GS, « la Garde Spéciale », armée de leur Thompson Gangster a tambour, apparurent en trombe dans le large escalier de l’entrée.



Ce fut une véritable pluie de plomb qui s’abattit dans le hall d’entrée, mais mes deux fidèles calibres se surpassèrent face a l’adversité et eurent raison de ses piètre tireur.
J’entrepris donc l’ascension du large escalier, guidé par l’espoir de pouvoir tout de même décrocher un entretient privilégier avec le boss.
J’arrivais finalement au dernier étage, sans encombres aucunes. La fenêtre du couloir était ouverte et une brise fraîche apaisait mon sang bouillonnant. Ma redingote, animé par cette même brise, se trémoussait dans un superbe effet de draper qui me donnait des allures de super héros à la prestance digne des slows motions de Christopher Nolan.
Puis au détour d’un couloir, je le rencontrais enfin, l’homme à la peau ambre et au cheval tatoué, qui arborait sur sa poitrine le N°7.















Il en imposait le bestio, j’avoue que l’espace d’un instant je faillit perdre mes moyens face à la prestances de la bête. Celui-ci m’attendait visiblement de pied ferme, mais pas dans l’optique d’un simple entretient de courtoisie.
Soudain les calibres jaillir de leur holster, et une tempête infernal envahit la salle. Tout vola en éclat. Dans un vacarme du diable, Jack faisait chanter ses 60 et 89 à tous va. Mon petit calibre ne faisait pas le poids face à de tels monstre. Tant bien que mal, je m’était réfugié dans l’une des salles et me calfeutrais a l’abris de la déferlant, derrière un massif bureau de chêne.
Putain de soir de noël, une vraie malédiction. Je pouvais pas faire comme tous le monde, une bonne dinde au marron en famille, et bien nom une bonne rasade de plomb arroser de verre pilé c’est tellement plus fun.
D’un coup je pris mon élan et fonçait droit sur le mur de la salle, la cloison sèche vola en éclat et j’atterris lourdement dans le couloir. Mon camarade de jeu ne tarda pas a me rejoindre et sortie pour l’occasion la grosse artillerie. Son 81 se mit à hurler violement, et à arroser tout ce qui se trouvait sur son passage. Les balles traversaient presque les murs, et ceux-ci volaient en éclat, jusqu'à ce que l’une des balles vienne se loger dans une conduite de gaz. En un instant les flammes jaillirent et inondèrent le couloir. J’eu tous juste le temps d’enfoncer une porte et de me jeter dans la cage d’escalier, dont les marche me mordirent les cotes, avant que le souffle de flammes ne gagne tout le dernier étage. Puis un bref hurlement à glacer le sang, me fit comprendre que Jack n’avait pas eu autant de chance que moi.











Je me retrouvais seul au beau milieu de mon escalier, le flanc en sang et ma clope pour seule compagnie, lorsque soudain, alerté par le gigantesque brasier sans aucun doute, des sirènes se firent bientôt entendre. Et c’est ce chère Blaireau qui vient bientôt à ma rencontre. Bizarrement il ne s’étonna pas de me trouver ici, au beau milieu d’un immeuble en flammes.
- Tu devrais arrêter avec ses saloperies, me lança t’il tous en pointant du doigt ma cigarette, ça va finir par te tuer…

Forcement « The Rock » avais disparu, volatilisé avec le projet de Gibbson. Mais en ce qui me concerne, mon affaire se terminait ici. Je ne suis pas flic, juste un privé qui avait résolut son affaire. Pour certain ce plan semblait machiavélique et malfaisant, mais au fond de moi, je commençais a me félicité que « The Rock » est put prendre la tangente, et je me mis même a lui souhaiter un avenir prometteur. Dans un monde ou la musique se meurt chaque jour un peut plus, noyer dans une mélasse a-culturelle, aseptiser et politiquement correct, glissant inéluctablement vers les méandres du néant, je savais que l’espoir renaîtrait un jour grâce au grain légendaire de la 6 cordes…

[farev]

Non mais je rêve !! Pas de nouvelle depuis 6 mois et là... et là... non mais je rêve !!
La table est fantastique, le boulot pareil, le dos on n' en parle pas (joli true fire !).
The baffe !! :app: :app:
J'vais aller m'coucher moi, j'ai mal à la joue !!

[Foudraxx]

Salut les amis !!!

Et oui le chapitre 3, enfin !
Je m’excuse pour cette longue attente, mais ce projet a nécessite l’apprentissage de nouvelles techniques et de nouveaux outils, et ceci a pris pas mal de temps. Si l’on rajoute a ca la vie de tous les jours, et bien il aura fallut 1an et 3jours pour boucler la boucle.
Alors forcement je me suis un peu amusé dans ce troisième chapitre afin de faire monter un peu la sauce.

Je tiens au passage à remercier Galadan et Sebastus pour leurs précieux conseils, qui m’ont bien aidé dans l’acquisition de mon nouveau matos et dans l’utilisation de celui-ci.
Je vais essayer de faire un petit topic à ce sujet en vous présentant ce matériel, Aérographe, compresseur, pistolet a peinture. Comme il s’agit du matériel utiliser pour ce projet, ça permettra de se faire une idée de l’utilité et du rendu de chacun d’eux avec un support concret.

Voila les enfants.
En espérant que la petite histoire vous ai fait passer un peu de bon temps.

Bonne continuation a tous
A+

[Jojobilou]

T'as réalisé un vrai chef d'oeuvre !!! Non mais sans déconner, t'es pas humain comme gars !!! Elle est sublime !!! Tout dans cette gratte est bien pensé et superbement réalisé !!! T'es dans mon Top 5 ex-æquo des tueurs à gage du forum !!! :yap: :yap:

[fidler]

Ho Putain c'est vraiment de toute beauté ...
Superbe guitare et histoire extra :app: :app:

Foudraxx tu porte bien ton nom... :D

Félicitations, ça valait le coup d'attendre 6 mois...

[Phraid]

OUTCH! C'te coup de poing dans l'buffet.
Non mais t'es pas malade de balancer tout ça, comme ça, sans même avertir avant. :pac:

C'est du grand, très grand Môssieur. :app: :app: :app:

[super_taz]

Non mais je rêve !! Pas de nouvelle depuis 6 mois et là... et là... non mais je rêve !!

non mais t'as vu ca? 6 mois sans poster et puis la, crac, un bourre-pif! Mais il est malade ce mec!

[bumbo]

:malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades: :malades:
Incroyable, l'histoire, la guitare, et tout ça avec une tête et deux mains, ben merde alors, je crois que je vais me pendre tellement je me sens inutile. Bravo

[6ri.l]

tout est dit

respect

[Phraid]

Incroyable, l'histoire, la guitare, et tout ça avec une tête et deux mains, ben merde alors, je crois que je vais me pendre tellement je me sens inutile. Bravo

C'est quand même plus utile que d'avoir des mains aux bouts des doigts. :mrgreen:

Bumbo, C'est pas le nom d'un singe qui portait des manchons sur les mains dans "le grand pouvoir du chnikel"?

[Yomea]

Incroyable, l'histoire, la guitare, et tout ça avec une tête et deux mains, ben merde alors, je crois que je vais me pendre tellement je me sens inutile. Bravo

C'est quand même plus utile que d'avoir des mains aux bouts des doigts. :mrgreen:

Bumbo, C'est pas le nom d'un singe qui portait des manchons sur les mains dans "le grand pouvoir du chnikel"?

C'est toujours aussi plus pratique que deux têtes et une main !!! :mrgreen: