Hell-O
Vidéo de vérification des harmoniques d'un Hang, avec un pot vibrant. On voit le sable qui se met dans les nœuds de vibrations et donne et des formes sympa. Le réglage des harmoniques se fait en tapant sur le hang. Le gars va jusqu'à 6 ou 7 harmoniques, quand ils les jouent, on les entends vraiment !
[https://www.youtube.com/watch?v=kXihKCwqvc4[/video]
C'est pas du rock mais faut s'accrocher rythmiquement !
J'ai beau avoir la partition, j'ai du mal à travailler ça ... guitare accordée en G6 : DGDGBE https://www.youtube.com/watch?v=TxzVGZo-fgY[/video]
Je trouve cette interprétation très rubato, trop je pense, sauf peut-être sur la reprise de la fin qui est plus facilement audible rythmiquement, avec la pulsation basse typiquement latine. Je pense (je suis mauvais lecteur mais assez familier avec ces musiques) qu'il faut penser basses, le reste n'est qu'articulation et à jouer carré avant de le faire balancer. Par contre pour ce qui est du doigté comme tu le demande en MP, je suis trop mauvais lecteur pour t'aider.
Regarde cette interprétation, on vois le doigté. https://www.youtube.com/watch?v=lrH2tdUBzpc[/video]
Tu as raison sur le rubato
... encore moins rubato mais sans doigté https://www.youtube.com/watch?v=KwnNgignp7s[/video]
on entend encore mieux la dislocacion entre la ligne de basses et la mélodie !
Modifié en dernier par gobi34 le lun. 28 oct. 2019 22:08, modifié 1 fois.
Il faut penser ce morceau comme une romance dansée, si tu connais l'Amerique du sud tu comprendra. Si c'est une danse le rubato est presque proscrit.
Tous ça c'est mon avis évidement.
benoit suaudeau a écrit :c'est bien trop rapide en plus le son est pourri (piézo bien naze), pauvre Chet.
on ne parle pas du son (encore que je ne le trouve pas si pire pour l'époque) mais faire ressentir la ligne de basses par rapport à la mélodie n'est pas mal artistiquement... je ne pense pas arriver à le jouer aussi vite ... tkt
Auteur du livre "Paroles & Guitares de Luthiers" aux éditions Ex-Aequo.
45 luthiers présentés ! Parution en octobre 2019.
Préfaces de Biréli Lagrène et Jean-Félix Lalanne