C'est fou ça, on dirais que dès que je post, hop tt le monde arrete :s à croire que :
Meuh non  

 ! Pour ma part c'est que je suis occupé ailleur (mon nouveau projet, trouver son bois, acheter du matos, les tests d'anodisation de l'alu, le boulot, le reste...)
Question micro maison, j'évalue encore les fournisseurs mais je compte bien me lancer...
Pour le fer doux, je sais bien que c'est préférable, mais j'ai quelques remarques et réflexions (à vérifier):
- Déjà ce qu'on appelle "fer doux", c'est en fait de l'acier avec une teneur en carbonne très faible (c'est pas du fer pur, ce serait trop chiant a travailler). Ca a son importance: si on prends un acier "bidon" le taux de carbonne est relativement bas, et il existe des clous en aciers doux (pour qu'ils soient plus... mous) qui doivent êtres assez pauvres en C aussi...
- du fer doux on peut en récupérer en feuilles dans les stators/rotors de toutes les machines tournantes (moteurs, alternateurs...)
Reste à trouver une manière d'utiliser des feuilles pour notre application. Mais c'est interressant au moins pour faire des micros à pôles barrettes.
- Le fait qu'il y ait un champ rémanant dans le plots, certes ça modifie le champ du couple plot/aimant par rapport au champ du même couple avec plot en fer doux, mais ça se stabilise très vite.
Je vois pas trop en quoi c'est génant, on est pas dans le cas d'un électro-aimant où on ne veut pas que le noyau induise un courant dans la bobine lorsque l'alimentation est coupée. Me trompe-je ? (ça m'étonnerai pas 

 )
- Enfin je me souviens avoir lu (mais où???) que beaucoup de fabriquants ne prenaient pas la peine de mettre des vis de plots réglables en fer doux sur leurs micros. Evidemment je sais pas si c'est vrai... Mais je viens de démonter un plot sur un SD designed, et effectivement je soulève une épingle avec.
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